@annaBrackett
Si vous ne lisez que le meilleur, vous n'aurez pas besoin de lire les autres livres, car ces derniers ne sont rien d'autre qu'une nouvelle et la plus ancienne. Lire Shakespeare, Platon, Dante, Milton, Spenser, Chaucer et leurs compagnons en prose, c'est lire sous forme condensée ce que tous les autres ont dilué.
@camillePaglia
Même la meilleure écriture critique sur Emily Dickinson la sous-estime. Elle est effrayante. Venir à elle directement de Dante, Spenser, Blake et Baudelaire, c'est trouver son sadomasochisme évident et flagrant. Les oiseaux, les abeilles et les mains amputées sont les étourdissements de cette poésie. Dickinson est comme le cultiste homosexuel se drapant en cuir noir et chaînes pour mettre l'idée de la masculinité en visibilité agressive.
@charlesCalebColton
Tous les poètes font semblant d'écrire pour l'immortalité, mais toute la tribu n'a aucune objection au présent salaire et aux louanges présentes. Lord Burleigh n'est pas le seul homme d'État qui ait pensé cent livres de trop pour une chanson, bien que chantée par Spenser ; bien qu'Oliver Goldsmith soit le seul poète à s'être jamais considéré comme trop payé.
@josephConrad
Conrad a placé sur la page de titre une épigraphe prise de The Faerie Queene d'Edmund Spenser: "Sleep After Toyle, Port After Stormie Seas, Ease After Warre, Death After Life, fait grandement s'il vous plaît" Cela est également devenu l'épitaphe de Conrad.
@maryRobertsRinehart
Natalie Spenser donnait un dîner. Elle n'était pas une hôtesse facile.
@thomasNashe
Immortal Spenser, aucune fragilité n'a ta renommée mais l'imputation de l'amitié de cet idiot!
@robertArisWillmott
La lumière du génie ne se fixe jamais, mais se lance sur d'autres visages, dans différentes teintes de splendeur. Homer brille dans la beauté adoucie de Virgile, et Spenser ravive dans l'apprentissage décoré du gris.
@robertArisWillmott
Un livre devient un miroir, sur lequel brille le visage de l'auteur. Le talent ne donne qu'une image imparfaite, la lueur brisée d'un visage. Mais les traits du génie restent imperturbables. Le temps garde l'ombre. La beauté, la spirituelle, Vénus, - dont les enfants sont les Tassos, les Spenser, les Bacons, - respire, la magie de son amour, et fixe le visage pour toujours.
@robertArisWillmott
Un livre devient un miroir, sur lequel brille le visage de l'auteur. Le talent ne donne qu'une image imparfaite, la lueur brisée d'un visage. Mais les traits du génie restent imperturbables. Le temps garde l'ombre. La beauté, la spirituelle, Vénus, - dont les enfants sont les Tassos, les Spenser, les Bacons, - respire, la magie de son amour, et fixe le visage pour toujours.
@timMaleeny
A. E. Maxwell a écrit l'une des séries PI les plus intelligentes et les plus cohérentes de mémoire récente. De grandes intrigues, de grands méchants et un détective privé avec beaucoup d'humanité. La dureté des premiers romans de Spenser de Robert B. Parker s'est mélangée à l'humour ironique et à la portée de Ross Thomas. Entièrement original, divertissant à l'infini. Les livres d'A. E. Maxwell sont un trésor oublié.
@henryDavidThoreau
La littérature anglaise, des jours des ménestrels aux poètes du lac, - Chaucer et Spenser et Milton, et même Shakespeare, inclus, - ne respire pas assez frais et, en ce sens, une tension sauvage. Il s'agit d'une littérature essentiellement docilisée et civilisée, reflétant la Grèce et Rome. Sa sauvagerie est un bois vert, son homme sauvage un Robin Hood. Il y a beaucoup d'amour génial de la nature, mais pas tellement de nature elle-même. Ses chroniques nous informent lorsque ses animaux sauvages, mais pas l'homme sauvage en elle, se sont éteints.
@benJonson
Âme de l'âge! Les applaudissements, le plaisir, la merveille de notre scène! Mon shakespeare, montée; Je ne te logerai pas par Chaucer ou Spenser, ou offrirai à Beaumont mentir un peu plus loin, pour te faire une pièce; Tu es un monument, sans tombeau, et l'art vivant encore, tandis que ton livre est en direct, et nous avons des esprits à lire et louer à donner.
@edwardEverettHale
L'église elle-même doit sortir de ses propres frontières et porter l'Évangile à la créature, ou ce n'est pas une église du Christ; et tout club d'amélioration mutuelle qui pense cela en lisant son shakspearo, ou en agissant ses jolis tableaux, ou en ayant. Cette petite lecture de Spenser et de Chaucer, elle va se soulever dans un ordre supérieur de culture ou de vie, est entièrement erroné, à moins que, comme une partie essentielle de son devoir, il sort dans le monde, trouve ceux qui tombent et les soulèvent à la majesté des hommes libres, qui sont des fils de Dieu.
@robertBParker
Ouais. Floyd est son Batman. "Son quoi?" Batman, comme dans l'armée britannique, chaque officier avait un Batman, un serviteur personnel. "Vous passez trop de temps à lire, Spenser. Vous savez plus de choses qui ne vous font pas de l'argent que quiconque que je connais.
@daveBarry
Je ne veux déshabiller personne, mais quelqu'un comme Robert Parker. J'ai d'abord lu un livre Spenser il y a peut-être 20 ans, puis j'ai lu tout le monde qui est sorti. Je l'ai fait aussi avec Tony Hillerman.
@cSLewis
Vous demandez si j'ai déjà été amoureux: idiot comme je suis, je ne suis pas un idiot que ça. Mais si l'on ne veut parler de l'expérience de première main, la conversation serait une affaire très pauvre. Mais bien que je n'aie aucune expérience personnelle des choses qu'ils appellent l'amour, j'ai ce qui est mieux - l'expérience de Sappho, d'Euripide, de Catallus, de Shakespeare, de Spenser, d'Austen, de Bronte, de quiconque que j'ai lu.
@cSLewis
Vous demandez si j'ai déjà été amoureux: idiot comme je suis, je ne suis pas un idiot que ça. Mais si l'on ne veut parler de l'expérience de première main, la conversation serait une affaire très pauvre. Mais bien que je n'aie aucune expérience personnelle des choses qu'ils appellent l'amour, j'ai ce qui est mieux - l'expérience de Sappho, d'Euripide, de Catallus, de Shakespeare, de Spenser, d'Austen, de Bronte, de quiconque que j'ai lu.