@lanaParrilla
Aucun vrai conte de fées ne m'a fait peur, mais Freddy Krueger l'a fait. «Nightmare on Elm Street» a effrayé l'enfer vivant de moi, mais pas de conte de fées. Peut-être que «Hansel et Gretel» un peu lorsqu'ils marchaient dans la forêt et qu'ils ont rencontré la sorcière. Mais j'aimais avoir peur, j'aime vraiment avoir peur.
@edgarAllanPoe
Dors, ces petites tranches de mort - comment je les déteste.
@heatherLangenkamp
Quoi que vous fassiez ... ne vous endormez pas.
@williamShakespeare
O Dieu, je pourrais être lié en un mot et me compter un roi d'espace infini - si ce n'est pas que j'ai de mauvais rêves.
@mikeTyson
J'aime les films d'horreur. Nightmare sur Elm Street est mon préféré. J'ai même peur un peu en regardant l'horreur.
@linShaye
En tant qu'acteur, peu importe ce que j'ai l'occasion de faire, s'il y a une bonne histoire, alors je suis dedans. Je pensais que 'Dead End' avait une belle histoire ; "Nightmare on Elm Street", bien sûr, était probablement le premier vrai film d'horreur dans lequel j'étais.
@coreyFeldman
Quand j'étais enfant, j'aimais les films 'Halloween' et 'Nightmare On Elm Street' et tout ce genre de choses. Mais en tant qu'adulte, je ne regarde vraiment pas beaucoup d'horreur, pour être honnête.
@jasonReitman
Quand je pense à «Nightmare on Elm Street», il y avait une chaleur à ces adolescents auxquels j'ai lié. Ils ne savaient pas qu'ils étaient au milieu d'un film d'horreur, et j'ai vraiment adoré ces personnages et j'ai sympathisé avec eux.
@kevinDWilliamson
Ouais, j'adore un cauchemar sur Elm Street. J'étais juste un fan. J'étais un fan tellement passionné. Je me souviens avoir été sur le plateau pour parler d'une séquence et il a commencé à me demander peut-être de le mettre en scène un peu différent. J'ai réalisé - je pense qu'il a été choqué que je connaissais si bien son travail - je me souviens que j'ai commencé comme: "Pourquoi ne le faisons-nous pas comme la dernière maison à gauche, où tu as eu la fille sur le sol ... "
@wesCraven
Quelque chose comme Nightmare sur Elm Street, pour moi, était une sorte d'examen des niveaux de conscience et de la douleur face à la vérité, et à quel point il est facile de s'endormir ou de vouloir s'endormir.