Aucune religion n'est une vraie religion qui ne fait pas picoter les hommes au bout des doigts avec un sentiment de danger infini.

Principe I: Les droits légaux sont des droits présumés.

Nous sommes poussés à avouer que nous nous soucions plus de la religion que pour les théories et les idées religieuses: et en faisant simplement cette distinction entre la religion et ses éléments de doctrine, n'avons-nous pas déjà relégué ce dernier à une position externe et subordonnée? N'avons-nous pas affirmé que la «religion elle-même» a une autre essence ou constitution que la simple idée ou pensée?

Chaque besoin social, comme le besoin d'amitié, doit être une fête à sa propre satisfaction: je ne peux pas trouver passivement mon ami comme un ami prêt à l'emploi; Un être humain prêt à l'emploi, mais son amitié pour moi, je dois aider à créer par ma propre résolution active.

Cette conception simplement formelle des faits de sa propre misère est en même temps un écart d'eux - les placer dans l'objet. Il n'est donc pas inactif d'observer de manière réflexe que dans cette pensée même, on s'est séparé d'eux, et n'est plus ce qu'il se voit empiriquement.

Nous ne pouvons pas balancer une corde qui n'est attachée qu'à notre propre ceinture.

La communauté pure est une question sans intérêt pour une volonté; Mais une communauté qui poursuit un bien commun est d'un intérêt suprême pour tous les testaments; Et ce que nous avons dit ici, c'est que quelle que soit la nature de ce bien commun ... il doit contenir le développement de pouvoirs individuels, comme condition antérieure pour tous les autres biens.

Il est juste, ou le droit absolu, qu'un individu ait développer les pouvoirs qui sont en lui. On peut dire qu'il a un "droit naturel" pour devenir ce qu'il est capable de devenir. C'est son seul droit naturel.

Et en effet, nul homme n'a trouvé sa religion tant qu'il n'a pas trouvé ce pour quoi il doit vendre ses biens et sa vie.

Une personne qui veut avoir une bonne volonté a déjà une bonne volonté - dans ses rudiments. Il y a une grande satisfaction à savoir que le simple désir de se débarrasser d'une vieille habitude est un progrès matériel par rapport à la condition d'immersion dans cette habitude. Le plus long pas vers la propreté est fait quand on ne gagne rien d'autre que l'insatisfaction de la saleté.

L'homme est le seul animal qui envisage la mort, et aussi le seul animal qui montre tout signe de doute de sa finalité.

Aussi riches que nous puissions devenir dans la connaissance des causes plus profondes des résultats historiques, nous renonçons à toute compréhension de l'histoire si nous oublions cette continuité intérieure, c'est-à-dire les intentions conscientes des participants à la création d'histoire et à leurs succès consciemment connus.

Partout où l'ambition morale existe, il existe à droite. Et l'ambition morale elle-même doit être présumée présente dans la subconscience, même lorsque le moi conscient semble le rejeter, tant que la société a des ressources pour la mettre en action; De la même manière que la sauvegarde de la vie présume que la vie existe chez l'homme noyé jusqu'à ce qu'il ait épuisé ses ressources pour récupérer la respiration.

Je trouve qu'un homme est aussi vieux que son travail. Si son travail l'empêche d'avancer, il attendra avec impatience le travail.

Lorsque les hommes ne peuvent pas se transmettre librement leurs pensées, aucune autre liberté n'est sûre.

Rien n'est plus évident, je m'aventure à penser, à la suite de deux ou trois mille ans de philosophie sociale, que cette société doit vivre et prospérer par les impulsions indigènes des êtres humains individuels.

Principe II: Les présomptions de la loi sont des présomptions créatives :;: Ils visent les conditions à provoquer, et seulement pour cette raison ignore les conditions qui existent.

Sans bonne volonté, aucun homme n'a de droit présumé, sauf le droit ou l'occasion de changer sa volonté, tant qu'il y a de l'espoir.

Seul l'homme qui a assez de bien en lui pour sentir la justice de la pénalité peut être puni.

Pour ceux qui n'ont qu'à obéir, la loi est ce que le souverain commande. Pour le souverain, en proie à décider ce qu'il devrait commander, cette vision de la loi est singulièrement vide de lumière et de dirige. Dans la souveraineté dispersée des États modernes, et en particulier en période de changement social rapide, la loi doit se tourner vers l'avenir ainsi que sur l'histoire et le précédent, et sur ce qui est possible et juste ainsi que ce qui est réel.

M. Rihani, nous nous sommes rencontrés il y a une fois des mille ans et nous ne nous reverrons peut-être pas encore mille ans.

Ce que notre point de vue de l'efficacité de la religion dans l'histoire rend tout de suite évident quant à sa nature est - d'abord, sa distinction nécessaire; Deuxièmement, sa suprématie nécessaire. Ces personnages bien que externes ont été si essentiels à sa fécondité, pour justifier la déclaration que sans eux, la religion n'est pas la religion. Une religion fusionnée et une religion négligeable ou subordonnée ne sont pas une religion.

Seul l'homme qui a assez de bien en lui pour sentir la justice de la peine peut être puni; Les autres ne peuvent être blessés.

@williamErnestHocking