Sergueï Viktorovitch Lavrov (en russe : Сергей Викторович Лавров [sʲɪrˈgʲej ˈvʲiktərəvʲɪtɕ ɫɐvˈrof]), né le 21 mars 1950 à Moscou (URSS), est un diplomate et homme politique russe. Membre du parti Russie unie, il est ministre des Affaires étrangères depuis 2004.

Je ne pense pas que vous puissiez commettre des crimes de guerre avec des armes défensives, avec des systèmes de défense aérienne.

Vous ne pouvez pas renforcer la loi en violant la loi.

Chaque pays a son visage politique et ses traditions politiques.

J'ai commencé, vous savez, pour travailler comme diplomate pendant les jours soviétiques, et malgré l'idéologie très élevée à l'ordre du jour du Parti communiste, je peux vous assurer que, en termes pratiques, nous avons toujours essayé d'être pragmatique.

Nous pouvons dire que le Japon est le seul pays qui remet en question le résultat de la Seconde Guerre mondiale; Personne d'autre ne le fait.

Vous savez que nous ne sommes pas dans le jeu de changement de régime. Nous sommes contre les interférences dans les conflits intérieurs.

La Russie a été entièrement proportionnée à sa réponse militaire à l'attaque de Géorgie contre les citoyens russes et les soldats de la paix.

Nous nous opposons fermement à l'utilisation de la violence au cours des transformations actuelles dans les États arabes, en particulier contre les civils. Nous sommes bien conscients du fait que la transformation d'une société est un processus complexe et généralement long, ce qui se passe rarement en douceur.

Les citoyens russes attaqués sont une attaque contre la Fédération de Russie.

Il n'y a pas de place pour les griefs petits en politique.

Les sanctions sont un signe d'irritation; Ils ne sont pas l'instrument de politiques sérieuses.

La communauté internationale a malheureusement pris parti en Libye, et nous ne permettons jamais au Conseil de sécurité d'autoriser quelque chose de similaire à ce qui s'est passé en Libye.

Le programme de partenariat oriental de l'UE est conçu pour lier fermement le soi-disant orientation à lui-même, en fermant la possibilité de coopération avec la Russie.

La Russie fait tout ce qu'elle peut pour promouvoir la stabilisation précoce en Ukraine.

L'expérience historique montre qu'une crise provoque une récupération ou des conséquences catastrophiques.

Nous pensons que les relations russo-américaines sont plus larges et plus grandes que les émotions et les rancunes mutuelles, y compris la situation avec le fugitif américain Edward Snowden.

Toute notre sécurité dépend désormais des sages décisions et de la coopération de nos dirigeants.

Si vous dites que votre loi nationale vous permet de faire quelque chose, c'est bien tant que vous faites cela dans votre propre territoire. Tant que vous allez international, vous devez vraiment être sûr qu'il existe un droit international que vous respectez et que vous suivez.

L'OTAN ne peut pas accepter que le coup d'État inconstitutionnel en Ukraine n'a pas conduit à l'assujettissement de toute la nation ukrainienne.

En ce qui concerne l'expansion de l'OTAN, je le vois comme une erreur, même une provocation en quelque sorte.

Nous ne ressentons aucun isolement. Mais, après avoir dit, je tiens à souligner en particulier que nous ne voulons pas aller aux extrêmes et abandonner les directions européennes et américaines dans notre coopération économique étrangère.

La Russie a fait plus que tout autre pays pour soutenir l'État ukrainien indépendant, notamment pendant de nombreuses années de subventionnement de son économie grâce à de bas prix de l'énergie.

Le 11 septembre 2001, le président de la Russie, alors le président, Vladimir Poutine, a appelé le président américain George W. Bush - faisant de Poutine le premier leader international à parler avec Bush après les attaques.

La Russie a toutes les raisons de disposer de son arsenal nucléaire ... pour s'adapter à ses intérêts et aux obligations légales internationales.

Si nos intérêts - nos intérêts légitimes, les intérêts des Russes - ont été attaqués directement, comme s'ils étaient en Ossétie du Sud, par exemple, je ne vois d'autre moyen que de répondre conformément au droit international.

Même les chaînes de télévision d'État ne sont pas monolithiques dans leur ligne pro-gouvernementale, et les vues qu'ils expriment sont assez pluraliste.

La Fédération de Russie et les États-Unis d'Amérique, les deux plus grandes puissances nucléaires du monde, mais en dehors du nucléaire, nous avons beaucoup en commun. Nous avons d'énormes territoires, des ressources naturelles, des technologies, des sciences, de l'éducation et bien sûr le capital humain.

La Crimée n'était pas une zone non nucléaire au sens du droit international mais faisait partie de l'Ukraine, un État qui ne possède pas d'armes nucléaires.

La Syrie est un État multi-confessionnel: en plus des musulmans sunnites et chiites, il y a des allawites, des orthodoxes et d'autres confessions chrétiennes, druzes et kurdes.

Lorsque les Ukrainiens tuent les Ukrainiens, je pense que c'est aussi proche d'une guerre civile que possible.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Sergue%C3%AF_Lavrov

@sergeiLavrov