Ruth Benedict, née Fulton le 5 juin 1887 dans une ferme de la Shenango Valley dans le comté de Chenango dans l'État de New York ou à New York, les sources divergent, et morte le 17 septembre 1948 dans la même ville, est une anthropologue,  et ethnologue  américaine, connue pour ses études, essais et articles sur les Amérindiens et la culture japonaise ainsi que pour sa contribution à l'école culturaliste.

Ce qui lie vraiment les hommes, c'est leur culture, les idées et les normes qu'ils ont en commun.

La dette d'un homme n'est pas la vertu, c'est son remboursement qui l'est. La vertu commence lorsqu'il se consacre activement à la tâche de la gratitude.

J'ai joué à avoir la force de vivre deux vies, une pour moi-même et une pour le monde.

Un observateur ne verra les évolutions bizarres du comportement que dans les cultures étrangères, et non dans la sienne. Néanmoins, il s'agit manifestement d'un préjugé local et temporaire. Il n'y a aucune raison de supposer qu'une culture donnée ait accédé à une santé mentale éternelle et qu'elle s'imposera dans l'histoire comme la solution solitaire du problème humain. Même la prochaine génération sait mieux que cela. Notre seule démarche scientifique consiste à considérer notre propre culture, dans la mesure de nos possibilités, comme un exemple parmi d'innombrables autres des différentes configurations de la culture humaine.

... avec chaque pays asiatique où nous opérons en coopération avec la culture existante, la nécessité d'une compréhension intelligente de ce pays et de ses modes de vie sera cruciale. Ces nations ne répondront très probablement pas aux appels qui nous sont familiers, et n'apprécieront pas les récompenses qui nous semblent irrésistibles. Le danger - et il serait fatal à la paix mondiale - est que, dans notre ignorance de leurs valeurs culturelles, nous nous rencontrions en collision frontale et retombions incontinent sur le vieux schéma consistant à imposer nos propres valeurs par la force.

Si nous justifons la guerre, c'est parce que tous les peuples justifient toujours les traits dont ils se trouvent possédés, et non parce que la guerre portera un examen objectif de ses mérites

La guerre est une vieille plante ancienne sur cette terre, et une histoire naturelle devrait nous dire dans les conditions du sol qu'elle pousse, où elle fait des ravages et comment elle est éliminée.

Le racisme est le dogme qu'un groupe ethnique est condamné par la nature à l'infériorité congénitale et qu'un autre groupe est destiné à la supériorité congénitale.

Aucun homme ne regarde jamais le monde aux yeux vierges. Il le voit édité par un ensemble précis de coutumes et d'institutions et de façons de penser.

. . . le travail même quand j'en suis satisfait n'est jamais mon enfant que j'aime ni mon serviteur que j'ai mis au pas. C'est toujours un travail chargé que je fais avec ma main gauche, et une partie de moi regarde à contrecœur les déchets de toute une vie.

C'est mon souffle de vie nécessaire pour comprendre et l'expression est la seule justification de la vie que je peux ressentir sans pousser.

L'histoire de la vie de l'individu est avant tout un logement pour les modèles et les normes traditionnellement transmises dans sa communauté.

L'histoire de la vie de l'individu est d'abord et avant tout un logement pour les modèles et les normes traditionnellement transmises dans sa communauté

Dans l'histoire du monde, ceux qui ont aidé à construire la même culture ne sont pas nécessairement d'une seule race, et ceux de la même race n'ont pas tous participé à une seule culture.

Si nous justifons la guerre, c'est parce que tous les peuples justifient toujours les traits dont ils se trouvent possédés, et non parce que la guerre portera un examen objectif de ses mérites.

Le but de l'anthropologie est de rendre le monde sûr pour les différences humaines.

La culture n'est pas un complexe biologiquement transmis.

L'excitation la plus heureuse de la vie est d'être convaincue que l'on se bat pour tout ce qui vaut au nom de certains clairement vus et profondément se sentir bien, et contre un mal très méprisé.

Le racisme est un isme auquel tout le monde dans le monde aujourd'hui est exposé; Pour ou contre, nous devons prendre parti. Et l'histoire de l'avenir différera en fonction de la décision que nous prenons.

Le problème avec la vie n'est pas qu'il n'y a pas de réponse, c'est qu'il y a tellement de réponses.

Notre expérience nationale pour américaniser des millions d'Européens dont le principal souhait était de devenir des Américains a été un vin grisant qui nous a fait croire, car peut-être aucune nation avant nous n'a jamais cru, que, étant donné la plus grande chance, tous les peuples se droilleront sur notre modèle.

Notre foi dans le présent s'étend bien avant notre foi dans le futur.

La guerre est que nous avons été contraints d'admettre, même face à son énorme place dans notre civilisation, un trait asocial.

L'homme n'est pas engagé en détail par sa constitution biologique à une variété particulière de comportement.

La foi est la vertu de la tempête, tout comme le bonheur est la vertu du soleil.

L'histoire de la vie de l'individu est avant tout un logement pour les modèles et les normes traditionnellement transmis dans sa communauté. Dès sa naissance, les coutumes dans lesquelles il est né façonne son expérience et son comportement. Au moment où il peut parler, il est la petite créature de sa culture, et au moment où il est devenu et capable de participer à ses activités, ses habitudes sont ses habitudes, ses croyances ses croyances, ses impossibilités ses impossibilités.

Je n'ai pas la force de ne pas avoir besoin d'une carrière.

J'ai envie de parler l'inspiration intense qui me vient de la vie des femmes fortes.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ruth_Benedict

@ruthBenedict