Maria Monk (1817-1849) est une femme canadienne devenue célèbre pour son récit autobiographique qui allègue que, devenue religieuse, elle fut abusée dans un couvent. Son récit pseudépigraphique The Awful Disclosures of Maria Monk a fait sensation, nourrissant l'imagination populaire aux États-Unis et suscitant des polémiques publiques.

Le jour où j'ai reçu la confirmation a été pénible pour moi.

Nous étions gardés au travail et nous avons autorisé à se parler uniquement sur des sujets tels que liés au couvent, et tout dans l'audition des vieilles religieuses qui nous sont assises.

Je croyais vraiment que les prêtres connaissaient mes pensées; et se tenaient souvent en grande impression. Ils m'ont souvent dit qu'ils avaient le pouvoir de me frapper à tout moment.

L'évêque, comme je l'ai remarqué, n'était pas très digne à toutes occasions et a parfois agi de la manière qui n'aurait pas été bien apparu en public.

D'autres aussi diveraient occasionnellement et exprimaient des doutes en privé; Bien que nous ayons tous été tous solennellement avertis par le meurtre cruel de Saint François.

J'ai à peine détenu le lecteur assez longtemps sur le sujet, pour lui donner une impression juste du stress exposé aux confessions. C'est l'un des grands points auxquels notre attention était constamment dirigée.

Un certain nombre de filles de ma connaissance sont allées à l'école chez les religieuses du Congregational Nunnery, ou Sœurs de la Charité, comme on les appelle parfois.

Malheureusement, je n'étais pas assez sage pour écouter ses conseils et marié à la hâte. Dans quelques semaines, j'ai eu l'occasion de me repentir de l'étape que j'avais franchie, car le rapport s'est avéré vrai - un rapport que je pensais justifié, et en effet, notre séparation.

La grande aversion pour la Bible a été montrée par ceux qui ont conversé avec moi à ce sujet, et plusieurs m'ont remarqué, à différents moments, que si ce n'était pas pour ce livre, les catholiques ne seraient jamais amenés à renoncer à leur propre foi.

Nous l'entendons constamment répéter, que nous ne devons plus jamais nous considérer comme les nôtres; Mais nous devons nous rappeler que nous étions solennellement et irrévocablement consacrés à Dieu.

Je dois être informé que l'une de mes grandes fonctions était d'obéir aux prêtres en toutes choses; Et cela que j'ai vite appris, à mon étonnement et à mon horreur, était de vivre avec eux dans la pratique des rapports criminels.

Les prêtres, insiste-t-elle, ne pouvaient pas pécher. C'était une chose impossible. Tout ce qu'ils ont fait et souhaitaient bien sûr. Elle espérait voir le caractère raisonnable et le devoir des serments que je devais prêter et leur être fidèle.

Debout près de la porte, nous avons plongé nos doigts dans l'eau bénite, nous sommes croisés et nous avons bénis, et sommes passés à la salle de couchage, dans l'ordre habituel, deux par deux.

Avant de prendre le voile, j'étais parée pour la cérémonie, et j'étais vêtue d'une riche robe appartenant au couvent, qui servait en de telles occasions ; et placé non loin de l'autel dans la chapelle, à la vue d'un certain nombre de spectateurs qui s'étaient réunis, peut-être une quarantaine.

Mes parents étaient tous deux originaires d'Écosse, mais résidaient dans le Lower Canada depuis quelque temps avant leur mariage, qui a eu lieu à Montréal; Et dans cette ville, j'ai passé la majeure partie de ma vie.

Tout autour de moi insistait sur le fait que mes doutes ne prouvaient que ma propre ignorance et mon état de pécheur ; qu'ils savaient par expérience qu'ils céderaient bientôt la place à la vraie connaissance et à un progrès dans la religion ; et j'ai ressenti quelque chose comme de l'indécision.

Je pense, je pense, chaque opportunité qui pourrait être raisonnablement attendue, juger de ma crédibilité.

La seule récréation qui y a permis, cependant, est celle de l'esprit, et il n'y a que peu.

Je suis né à St. John's, où ils ont vécu pendant une courte période.

Le jour, par conséquent, lorsque je suis allé à l'église pour être confirmé, avec un certain nombre d'autres, j'ai beaucoup souffert des reproches de ma conscience.

Elle m'a donné une autre information qui a excité d'autres sentiments en moi, à peine moins affreux. Les nourrissons sont parfois nés dans le couvent; Mais ils ont toujours été baptisés et immédiatement étranglés!

La fabrication de bougies de cire était une autre branche d'activité importante dans le couvent.

Je me souvenais souvent aussi que l'on m'avait dit que nous aurons autant de démons qui nous mordaient, si nous allons en enfer, car nous avons des péchés non confessés sur notre conscience.

Pour autant que je sache, aucune douleur n'a été prise pour préserver le secret à ce sujet; Autrement dit, je n'ai vu aucune tentative faite pour garder les détenus du couvent dans l'ignorance du meurtre des enfants.

@mariaMonk