Lorsque vous renoncez à la vengeance, assurez-vous que vous n'abandonnez pas la justice. La frontière entre les deux est faible, instable et bien ... Vengeance est notre propre plaisir de voir quelqu'un qui nous a fait du mal à le récupérer, puis certains. La justice, en revanche, est sécurisée lorsque quelqu'un paie une peine équitable pour avoir t'en tort une autre même si la personne blessée ne fait aucun plaisir à la transaction. La vengeance est une satisfaction personnelle. La justice est la comptabilité morale ... Le pardon humain ne supprime pas la justice humaine.

Je m'inquiète pour les pardon rapides. Ils ont tendance à pardonner rapidement afin d'éviter leur douleur. Ou ils pardonnent rapidement afin d'obtenir un avantage sur les personnes qu'ils pardonnent. Et leur pardonnance instantanée ne fait qu'aggraver les choses ... les gens qui ont été mal lésés et blessés profondément devraient se donner du temps et de l'espace avant de pardonner ... il y a un bon moment pour pardonner. Nous ne pouvons pas le prédire à l'avance; Nous ne pouvons nous préparer que quand il arrivera ... Ne le faites pas rapidement, mais n'attendez pas trop longtemps.

Dans un monde pécheur, aucune communauté ne peut exister longtemps où personne n'est jamais tenu responsable: aucun enseignant ne noterait la performance d'un élève; Aucun citoyen ne s'asseyait sur un jury ou n'appellerait un leader raté à rendre compte.

Il faut une personne pour pardonner, il faut deux personnes pour être réunies.

Lorsque nous pardonnons le mal, nous ne l'excusons pas, nous ne le tolérons pas, nous ne l'étouffons pas. Nous regardons le mal plein au visage, appelons-le comment il est, laissez son horreur choquer et nous étouffer et nous enrager, et ce n'est qu'à ce moment-là que nous le pardonnons.

Dieu ne nous donne pas le salut parce que nous croyons. Notre croyance n'est que le moyen normal de recevoir le salut qu'il donne librement.

Le bon sens suggère que si personne ne jugeait les autres, il n'y aurait pas de véritable communauté humaine.

Certaines personnes font encore des promesses et tiennent ceux qu'ils font. Quand ils le font, ils aident à rendre la vie autour d'eux plus humaine.

Porger est difficile. Excuser est facile. Quelle erreur c'est de confondre pardonner avec être pâteux, doux, sans tripes et oh, si compréhensif. Avant de pardonner, nous raidissons notre colonne vertébrale et nous tenons une personne responsable. Et ce n'est qu'alors, dans un jugement difficile, pouvons-nous faire la chose scandaleusement impossible: nous pouvons pardonner.

La seule façon de guérir la douleur qui ne guérira pas elle-même est de pardonner à la personne qui vous a blessé. Le pardon guérit la vision de la mémoire. ... Vous avez libéré un prisonnier, mais vous découvrez que le vrai prisonnier était vous-même.

Porger est le travail le plus difficile de l'amour et le plus grand risque de l'amour. Si vous le tournez en quelque chose qu'il n'a jamais été censé être, cela peut faire de vous un paillasson ou un manipulateur insupportable. Pardonnant semble presque contre nature. Notre sentiment d'équité nous dit que les gens devraient payer pour le mal qu'ils font. Mais pardonner est le pouvoir de l'amour de briser la règle de la nature.

Dieu n'est pas un paillasson, et personne d'autre ne devrait être un paillasson.

Tout moment qui nous ouvre à la réalité que la vie est bonne est une parabole de la fin suprême pour laquelle nous avons été faits.

Vous saurez que le pardon a commencé lorsque vous vous souvenez de ceux qui vous ont blessé et ressentent le pouvoir de leur souhaiter bonne chance.

Certaines personnes ont des êtres chers, ils n'abandonneront pas, même s'ils sont une douleur dans le cou.

La première et souvent la seule personne à être guéris par le pardon est la personne qui fait le pardon ... lorsque nous pardonnons vraiment, nous avons libéré un prisonnier et découvrir que le prisonnier que nous avons libéré était nous.

Même Dieu ne peut pas faire quelque chose de juste avec ce qui est intrinsèquement injuste. Une seule chose peut être faite. Quelque chose doit percer la croûte d'injustice et créer une chance pour une nouvelle équité. Seul le pardon peut faire la percée.

Vous et moi avons été créés pour la joie, et si nous le manquons, nous manquons la raison de notre existence. Si notre joie est une joie honnête, elle doit en quelque sorte être conforme à la tragédie humaine. C'est le test de l'intégrité de Joy. Il est compatible avec la douleur. Seul le cœur qui fait mal a droit à la joie.

En lisant le Nouveau Testament, je ne trouve qu'un seul chemin vers le salut - le chemin d'une foi éclairée en Jésus-Christ.

Parfois, j'aime énumérer les arguments les plus forts que je puisse trouver pour soutenir un point de vue, je pense que c'est faux. Quand je les ai devant moi, je suis contre un véritable adversaire plutôt qu'en hypothétique qui est une cible facile à atteindre.

La justice rétributive n'est survenue d'aucun principe chrétien; Presque toutes les sociétés pré-chrétiennes ont traité des malfaiteurs en leur faisant de la douleur.

Les Américains modernes souffrent d'une peur de juger. Il est considéré comme un acte de jugement sur le comportement des autres êtres humains d'intolérance médiévale et non démocratique.

Nous nous sentons correctement gênés lorsque nous sommes surpris en train de faire quelque chose qui nous fait paraître inepte, à poil à la pointe ou inappropriée. Peut-être que la différence est la suivante: nous nous sentons gênés parce que nous avons l'air mal, et nous ressentons la honte parce que nous pensons que nous sommes mauvais. Lorsque nous sommes gênés, nous nous sentons socialement stupides. Lorsque nous sommes honteux, nous nous sentons moralement indignes.

Plus nous détestons longtemps, plus il est difficile de nous guérir.

A la croix, Dieu punissait Jésus pour les péchés du monde. La justice de Dieu exigeait un châtiment des pécheurs, et dans son amour indicible, il a lui-même payé le châtiment en la personne de son Fils crucifié.

Le Dieu qui a le monde entier entre ses mains a la grâce pour le monde entier dans son cœur.

La gentillesse est le pouvoir qui nous pousse pour soutenir et guérir quelqu'un qui n'offre rien en retour.

@lewisBSmedes