Afin de se repentir de manière significative de la manière dont nous violons l'amour, nous devons les reconnaître. Nous ne reconnaîtrons pas les modèles auto-protecteurs de relier les violations coupables de l'amour jusqu'à ce que nous fassions face à la déception de notre âme que nous sommes déterminés à ne plus jamais ressentir.

J'ai pratiqué la prière de centrage. J'ai contemplativement prié. J'ai prié liturgiquement ... J'ai bénéficié de chacun, et je le fais toujours. D'une manière, vous verrez, les éléments de chaque style sont toujours avec moi.

Si nous recherchons des moyens de se débarrasser de la douleur nécessaire, nous serons désillusionnés ou induits en erreur. Pour les personnes qui définissent le changement réel comme l'élimination de la lutte inévitable, les derniers chapitres seront terriblement décevants.

Un mariage lié par des engagements à exploiter l'autre pour combler ses propres besoins (et je crains que la plupart des mariages ne soient construits sur une telle base) peut légitimement être décrit comme une relation de « tic sur un chien ». Tout comme un tic affamé s'accroche à un hôte nourricier en prévision d'un repas, chaque partenaire s'unit à l'autre dans l'attente de trouver ce que sa nature personnelle exige. Le dilemme plutôt frustrant, bien sûr, c'est que dans un tel mariage il y a deux tics et pas de chien !

Je suppose que l'esprit chuchote toujours, "Abba", aux enfants de Dieu, en leur assurant qu'ils sont en sécurité sous sa garde. Et il les appelle continuellement à devenir ce que Dieu les a sauvés, des gens solides, indestructible vivants, blessant peut-être, mais consommé de plaire au Père.

Nous avons été conçus pour aimer et quand nous le faisons, quelque chose de bien se développe à l'intérieur. Nous nous sentons propres, riches, entiers. Encore mieux, nous nous soucions moins de la façon dont nous nous sentons et plus préoccupés par la vie des autres.

Il n'y a jamais un moment dans toutes nos vies, du jour où nous avons confiance en Christ jusqu'au jour où nous le voyons, quand Dieu n'a pas envie de nous bénir. À chaque instant, dans toutes les circonstances, Dieu nous fait du bien. Il ne s'arrête jamais. Cela lui fait trop de plaisir. Dieu n'attend pas de nous bénir après la fin de nos problèmes. Il nous bénisse en ce moment, dans et à travers ces problèmes. À ce moment précis, il nous donne ce qu'il pense être bon.

Le vrai pouvoir d'aider quelqu'un à se transformer n'est pas de faire quelque chose à lui mais de se joindre à eux.

Les gens pieux ... endurent noblement les choses difficiles. Ils savent que leur existence est significative et qu'ils sont destinés à un plaisir illimité au niveau le plus profond du ciel. Parce qu'ils sentent vivement que rien ne répond maintenant aux normes de leur âme désir, la douleur silencieuse mais profondément palpitante en eux les pousse non pas à composer, mais à l'anticipation et à un rendement encore.

Une vision que nous donnons aux autres de qui et de ce qu'ils pourraient devenir a du pouvoir quand elle fait écho à ce que l'esprit a déjà dit dans leur âme.

Nous devons venir à la Bible dans le but de l'auto-exposition consciemment à l'esprit. Je soupçonne que peu de gens font plus qu'un coup de couteau dans cette direction. C'est un travail extrêmement difficile. Il fait de l'étude biblique en conviction et rassurant, douloureuses et apaisantes, déroutantes et apaisantes, et parfois ternes - mais pas longtemps si notre but est de nous voir mieux.

Nous ne pouvons pas compter sur Dieu pour organiser ce qui se passe dans nos vies d'une manière qui nous fera nous sentir bien. Nous pouvons cependant compter sur Dieu pour retirer patiemment tous les obstacles à notre plaisir de lui. Il est attaché à notre joie, et nous pouvons dépendre de lui pour nous donner suffisamment de goûts de cette joie et suffisamment d'espoir pour que le meilleur soit encore en avance pour nous faire passer à quel point la douleur continue de tourmenter nos cœurs.

Dieu travaille toujours pour sensibiliser ses enfants à un rêve qui reste vivant sous les décombres de chaque rêve brisé, un nouveau rêve qui, en matière de réalisation, sortira une nouvelle chanson, chantée avec des larmes, jusqu'à joie dans nos cœurs.

Le but de notre sanctification est que nous affichons le Christ dans la façon dont nous aimons les autres.

D'autres formes de liés à Dieu qui ont une valeur unique en nous connectant à lui incluent la prière contemplative et la prière de centrage.

Le changement de l'intérieur implique un regard inébranlable sur notre Seigneur qui change la vie car il reflète une profonde tournage d'un engagement envers l'autosuffisance. Sans le repentir, un regard sur le Christ ne fournit que l'illusion du réconfort.

C'est la compréhension des autres et la conscience de leurs besoins, que l'ambassadeur du Christ devrait s'efforcer de cultiver

Nous ne pouvons pas toujours faire fonctionner la vie. Mais nous pouvons toujours nous rapprocher de Dieu. Il existe une façon différente d'approcher nos problèmes. Il y a une nouvelle façon de vivre.

J'entends Jésus nous dire d'arrêter de négocier avec lui, pour arrêter d'offrir quelque chose que nous pensons que nous avons en échange de ses bénédictions.

Beaucoup d'entre nous accordent une priorité absolue non pas à devenir Christ comme au milieu de nos problèmes mais à trouver le bonheur ... Je dois fermement et consciemment par un acte de mon va rejeter le but de devenir heureux et d'adopter l'objectif de devenir plus comme le Seigneur.

La racine de toutes nos difficultés personnelles et émotionnelles est un manque de convivialité ... Je crois donc que la voie la plus sûre pour surmonter les problèmes et devenir les personnes que nous étions censées être est de renouer avec Dieu et avec notre communauté.

Suivre le Christ est une aventure sauvage complète ou des risques, de la frustration, de l'excitation et des revers. Ce n'est pas une promenade en soirée dans une communauté planifiée le long d'un chemin bien entretenu.

Le problème central n'est pas que nous sommes trop passionnés par les mauvaises choses, mais que nous ne sommes pas assez passionnés pour de bonnes choses.

Nous avons fait une terrible erreur! Pendant la majeure partie de ce siècle, nous avons défini à tort les blessures de l'âme comme des troubles psychologiques et délégué leur traitement aux spécialistes formés. Les psychions endommagés ne sont pas le problème. Le problème est une âme déconnectée. Ce dont nous avons besoin, c'est de la connexion. Ce dont nous avons besoin, c'est d'une communauté de guérison.

La maturité implique deux éléments: 1) l'obéissance immédiate dans des situations spécifiques et 2) la croissance des caractères à long terme.

Lorsque des amis spirituels partagent leurs histoires, les autres écoutent sans travailler. Ils se reposent. Il n'y a rien à réparer, rien à améliorer. Une communauté spirituelle ne se sent pas perturbée alors qu'elle écoute, certainement accablée. . . Mais reposant toujours dans la connaissance que la vie à l'intérieur, la passion pour la sainteté, est indestructible. Il n'a qu'à être nourri et libéré.

Plus nous reconnaissons clairement la profondeur de notre engagement envers l'autoprotection fonctionne dans notre style relationnel et plus nous sommes courageusement confrontés à la laideur de nous protéger plutôt que d'aimer les autres, plus nous modifierons notre direction.

Dirigée par moi-même et deux collègues, le cours propose un nouveau modèle de direction spirituelle qui s'appuie à la fois sur la sagesse séculaire de l'Église et les perspectives plus récentes. Je l'appelle le modèle passionné / sagesse de la direction spirituelle, et je le vois comme offrant l'occasion pour nos mondes intérieurs et notre réalité surnaturelle à se rencontrer.

@larryCrabb