Avant Rio, je n'avais jamais été au sommet de la piste du vélodrome mais maintenant je m'entraîne en haut de la piste.

Plus je suis dans les yeux du public et j'ai la possibilité de parler de la condition, mieux c'est. Tant de gens ne comprennent pas la condition, ils ne comprennent pas les difficultés auxquelles nous devons faire face.

Je ne suis pas très doué pour prendre des décisions.

Je ne faisais du vélo depuis un an avant d'aller à Rio.

J'ai terminé mon diplôme et j'ai réalisé que j'avais beaucoup de temps libre sur mes mains.

J'ai regardé «l'entraîneur Carter», c'est comme le meilleur film de tous les temps!

2018 est une année importante pour moi, avec les Jeux du Commonwealth en avril et mon mémoire universitaire en mai, donc des Championnats du monde en mars seraient difficiles.

Il y a des moments où je suis sur la piste d'athlétisme quand je ne peux pas contrôler mon mouvement ou je ne suis pas en mesure de maintenir ma stabilité de la hanche et je vacille partout.

J'étais horrifié que ma vie allait tourner autour de la non-indépendante.

Je veux pouvoir faire les Jeux olympiques, puis faire les Jeux paralympiques après.

Vous ne devriez pas avoir à accepter d'être considéré comme moins ou discriminé à cause de votre peau.

Je resterai sur mon vélo jusqu'à ce que j'aie brûlé une certaine quantité de calories ou que je me suis assuré que je suis en calories négatives pour la fin de la journée.

J'ai commencé mon académie de cyclisme pour essayer d'obtenir plus de gens de BAME par un cyclisme.

Vous avez un rêve et vous espérez que vous pourrez aider quelqu'un. Mais pour découvrir que vous avez fait cela, cela vous donne une sensation chaleureuse à l'intérieur.

J'avais le monde contre moi. On m'a dit que je ne devrais pas faire du sport et que je n'irais pas aux Jeux paralympiques. J'ai eu tellement de barrières.

Je suis reconnu à peu près partout où je vais maintenant, ce qui est totalement étranger.

Il vous suffit d'avoir du cœur, de la passion, de la détermination et de la confiance en soi.

J'ai eu un excellent entraîneur, John Norfolk, qui m'a emmené d'un novice à un grand cycliste.

L'une des choses clés que j'ai apprises sur «MasterChef» était la gestion du temps.

Quand les gens disent qu'il y a des gens qui simulent, si j'avais le choix, je ne voudrais pas avoir un handicap.

Je ne ferai rien avec une imprudence. Mais je lutte avec la dystonie, ou le mouvement incontrôlé, et je sais que le yoga et le Pilates peuvent vous aider. Il en va de même pour l'hydrothérapie. Cela fait partie d'être physiothérapeute, je suppose.

J'ai essayé de ne pas pleurer sur le podium, j'ai essayé de profiter de ce moment. J'ai apprécié Rio mais j'essayais de bien aller que je ne l'ai pas vraiment fait, c'est un peu écrasant.

J'ai toujours aimé «cuire», je l'ai toujours regardé et ce n'est qu'une de ces choses que tout le monde aime et que vous la regardez avec votre famille.

J'ai mis en place l'Académie KC pour faire passer plus de gens d'un fond noir dans le vélo.

Je n'ai jamais eu de sponsor de kit. Je suis envoyé par kit par une entreprise mais ils ne me signeraient pas pour une bonne affaire. C'est frustrant.

Au départ, c'était un voyage sur une fille qui voulait aller aux Jeux paralympiques, mais au cours des deux années, c'est devenu quelque chose que je faisais pour tout le monde. La raison pour laquelle je voulais le faire si mal était pour que je puisse rester ici et montrer que cela peut être fait même si vous avez des revers.

J'adore le buzz de la course et d'être compétitif et d'essayer de me pousser à être le meilleur que je puisse être.

J'étais tellement plus petit avant que j'avais une SP, donc j'ai vraiment du mal au jour le jour pour regarder dans le miroir. Je ne pense pas que je me reconnais parce que je n'ai jamais été aussi grand.

J'ai eu une blessure qui m'a juste creusé. Je passerais chaque session sur piste à pleurer, essayant de courir et de tomber en panne quand je ne pouvais pas.

Pour être reconnu par la reine, c'est juste wow, merci.

@kadeenaCox