La pleine conscience des ressources que nous avons et le respect de l'endroit où nous vivons, mangeons et dormez est un bon point de départ. Être conscient de votre consommation, ce qui se passe et sortira, aidera à réduire le gaspillage.

Vous devez passer à votre propre battement. Il y aura des moments où personne ne croit en vous ou comprendra ce que vous faites et pourquoi vous le faites. La chose la plus importante est que vous croyiez en vous. Suivre votre propre vision est l'une des seules choses qui vous soutiendront.

J'adore le look des ongles polis. Ils ont l'air soignés et chics sans avoir à peindre vos ongles et cela ne prend pas de temps!

Je n'ai jamais voulu être la personne qui a dit: "J'aurais, je serais, pourrait, à Shoulda." La vie est bien trop courte et vous ne durerez peut-être pas aussi longtemps. J'ai abandonné Yale après deux ans pour poursuivre l'une des carrières les plus incertaines - la modélisation. Cela semblait être une décision folle, surtout venant d'où je venais et compte tenu de ce qu'est Yale. La plupart des gens que je connaissais me l'avaient dit. Mais je suivais ce que mon cœur me disait que je devais faire. J'ai pris le risque. Cela n'aurait pas pu facilement fonctionner, mais cela l'a fait. Phew!

Donnez du temps, de la nourriture ou de l'argent aux organisations qui luttent sur le bon combat. Nous pouvons agir individuellement pour le bien collectif. Nous pouvons tous faire quelque chose.

Les femmes sont les critiques les plus dures des autres femmes.

Si cela arrive au point où je ne peux pas avoir un enfant physiquement, il y a beaucoup d'enfants dans le monde qui ont besoin d'une maison stable et d'un parent aimant. Je suis tellement en adoption.

J'ai grandi dans le South Bronx, élevé par ma grand-mère, qui a mis au rebut et gratté pour m'assurer d'avoir un toit au-dessus de ma tête et de la nourriture dans l'estomac. J'étais douloureusement conscient de ce que c'était que de vivre avec des ressources limitées et un certain niveau d'incertitude.

Ce qui m'a le plus inspiré, c'est la résilience du peuple cambodgien. Le pays vit toujours avec le traumatisme du régime brutal Khmers Rouge. Les gens ont tout perdu - famille, amis. La riche culture du Cambodge s'est presque éteinte. Ils sont une nation de survivants. Et tandis que la pauvreté et la mortalité infantile affectent une quantité disproportionnée de personnes là-bas, ceux que j'ai rencontrés espéraient pour l'avenir et faisant de leur mieux avec ce qu'ils avaient.

Reconnaissance : La compréhension et la compassion pour les autres et leur souffrance est la prochaine étape. Mettez-vous à la place des gens qui n'ont pas le luxe de gaspiller.

Vous ne pouvez pas improviser si vous êtes tendu. Ou penser trop. Vous devez vraiment le laisser partir.

Avec tous ces discours en vertu, en achetant le vert, le vert vivant et le vert étant le nouveau, je me suis rendu compte que, même si nous n'avions pas de vert, ma grand-mère était en fait la personne «la plus verte» que j'aie jamais connue.

Ma grand-mère m'a inculqué deux leçons importantes: j'étais tout aussi bon que n'importe qui d'autre, et l'éducation était mon salut. Heureusement, j'ai pu obtenir des bourses dans d'excellentes écoles, mais j'ai été l'une des plus chanceuses. Tout cela est ce qui m'attire dans des organisations anti-pauvreté comme Oxfam.

Nous vivons dans un pays [USA] où la croyance est que n'importe qui peut réussir, mais pour tant de personnes ici, et pour la majorité du monde, ce n'est pas le cas. Dans de nombreuses régions du monde, les femmes et les pauvres sont désavantagés - certains droits et protections n'existent pas, et elles n'ont pas la chance de mobilité ascendante.

Lorsque vous autonomisez les femmes et que vous les aidez à prospérer, vous aidez leurs communautés à prospérer. Les femmes assument le fardeau de manière disproportionnée.

La vie ne se retrouve pas toujours avec un arc enroulé autour de lui.

Camo ne se démode jamais en ce qui me concerne.

Cela fait du bien de savoir que vous avez contribué positivement à la vie d'autrui, à leur bonheur, à leur survie. Cela nous donne un sens du but.

Je déteste Noël, vraiment. Je ne donne pas vraiment de cadeaux ou je n'en attends pas.

L'échec n'est pas vraiment une option car, comme le disait ma grand-mère, "Rien ne vaut un échec mais un essai."

Je n'ai pas d'enfants à moi, donc je ne peux pas dire que je connais le sort d'être parent, mais je peux en quelque sorte en comprendre certaines complexités.

@joyBryant