Je voulais que les jeunes sachent que j'étais juste un enfant typique.

Personne ne pense qu'Obamacare est parfait. Il a ses problèmes.

Je dirais que le pays est un pays différent. C'est un meilleur pays. Les signes que j'ai vus lorsque je grandissais ont disparu et ils ne reviendront pas. À bien des égards, les murs de ségrégation ont été démolis.

J'ai rencontré Rosa Parks quand j'avais 17 ans. J'ai rencontré le Dr [Martin Luther] King à l'âge de 18 ans. J'ai donc eu de bons problèmes, des ennuis nécessaires.

Il ne suffisait pas de venir écouter un grand sermon ou un message tous les dimanches matin et être confiné à ces quatre murs et à ces quatre coins. Vous deviez sortir et faire quelque chose.

Pour remettre en question la légitimité du prochain président américain, vous savez, et vous vous inquiétez d'un tweet qui dit, hé, pourquoi ne pas retourner au travail au lieu de remettre en question ma légitimité? Dommage.

Je crois vraiment que nous tous, en tant qu'Américains ... nous devons tous être traités comme des êtres humains.

Beaucoup de jeunes, beaucoup d'enfants, sont maltraités, déposés, intimidés à cause de leur orientation sexuelle.

Vous devez avoir la capacité et la capacité de prendre ce que les gens ont fait, et comment ils l'ont fait, et de leur pardonner et de passer à autre chose.

Le fait n'est pas là où Barack Obama est né, le fait est que nous avons des membres du Congrès du côté démocratique de l'allée qui remet en question la légitimité du président élu [Donald] Trump qui a gagné dans un glissement de terrain électoral.

Nous venons à Selma pour être renouvelés. Nous venons d'être inspirés. On nous rappelle que nous devons faire le travail que la justice et l'égalité nous appellent à faire.

Je pense que le Dr King serait heureux de voir le nombre d'élues de couleur - Afro-Américains, Latinos, Américains d'origine asiatique et blancs progressistes.

Je dirais à un jeune: continuez à étudier. Étudiez ce qui se passe dans votre communauté, dans votre quartier, peut-être dans votre école.

Aujourd'hui, dans tout ce pays, il y aura des rassemblements dirigés par les démocrates et d'autres à lutter contre l'impact dévastateur de l'abrogation de la Loi sur les soins abordables. 20 millions de personnes ont été lancées de l'assurance maladie, des prix des médicaments sur ordonnance augmentant pour les personnes âgées, privatisation de l'assurance-maladie: dévastation. Et nous devons nous battre contre cela.

J'ai beaucoup d'espoir. Je suis très optimiste quant à l'avenir.

Ma mère et mon père et beaucoup de mes proches avaient été des métayers.

Je peux dire juste en travaillant en étroite collaboration pour la moitié de l'année dernière avec le président élu [Donald Trump] et même au cours des six dernières semaines, il n'a aucun problème avec des opinions différentes dans une pièce.

Les gens viennent vers moi dans les aéroports, ils entrent dans le bureau et ils disent: «Je vais pleurer; Je vais m'évanouir. Et je dis: «S'il vous plaît, ne s'évanouissez pas; Je ne suis pas médecin.

Rosa Parks m'a inspiré pour trouver un moyen de me gêner, pour avoir des ennuis ... de bons problèmes, des ennuis nécessaires.

Quand les gens me disent que rien n'a changé, je dis que je vais marcher dans mes chaussures et je vous montrerai le changement.

En lisant l'histoire de Martin Luther King, cette petite bande dessinée, m'a mis sur le chemin sur lequel je suis aujourd'hui.

Si ce n'était pas le cas pour cette marche à travers le pont d'Edmund Pettus le dimanche sanglant, il n'y aurait pas de Barack Obama en tant que président des États-Unis d'Amérique.

Je pense que c'est un must pour les jeunes et les générations à venir, à comprendre, à ressentir, à toucher, à sentir presque le drame de ce qui s'est passé il y a quelques années [le mouvement des droits civiques des années 1950 et 1960]. Alors peut-être, juste peut-être, nous ne répéterons jamais cette période incroyable de notre histoire. Nous devons tout dire, le rendre clairement, et le préciser, afin que les gens n'oublieront jamais la distance que nous avons atteinte, et les progrès que nous n'avons pas encore faits.

Parfois, j'entends des gens dire: «Rien n'a changé». Venez marcher dans mes chaussures.

La récompense pour jouer au jazz est de jouer au jazz.

Je veux que [Donald] Trump envoie un tweet disant qu'il va tenir ses promesses de campagne.

Je pense que toute ma vie a été l'une des choses audacieuses et en quelque sorte à la navigation contre le vent au lieu d'aller avec le vent.

Vous devez dire toute la vérité, le bien et le mauvais, peut-être certaines choses qui sont inconfortables pour certaines personnes.

Je vais dire que j'ai suivi chaque campagne présidentielle depuis la campagne du président [John F.] Kennedy en 1960.

@johnLewis