Greg Mottola (né le 11 juillet 1964 à Dix Hills, dans l'État de New York) est un réalisateur, scénariste, producteur de cinéma et acteur américain.

Je n'aime pas beaucoup les films de haut concept, et le genre de scripts que j'aurais parfois offert était tenu à des comédies très élevées ou à des comédies romantiques. Je n'aime pas ça. J'aime les films beaucoup plus réalistes avec une psychologie et un comportement réels.

Je me souviens sur mon tout premier film, que Steven Soderberg a produit, il a dit: «Essayez de ne pas vous répéter. Faites des choses qui vous font peur. Même si c'est un défi, je veux que les gens disent que ce gars a essayé cette chose. J'espère qu'il a appris de cela.

Le public du Saint Graal est des jeunes et, en fin de compte, c'est qui est courtisé.

[Keeping Up with the Joneses] n'est pas un de ces films où les gens se font tirer dessus et tombent et il n'y a aucune réalité de ce qui se passerait si vous étiez abattu et renversé sur une moto. C'est censé être une légère comédie dans ce sens.

Ce qui est fou à propos du cinéma indépendant, c'est que vous êtes tellement jugé sur votre premier film. Cela doit presque être l'un de ces films révolutionnaires que je ne sais pas de type avant.

L'école de cinéma ne m'a pas préparé au fait que vous devez gérer autant de personnalités différentes à chaque étape, et je n'ai rien appris sur ce qu'il fallait faire lorsqu'un film a été terminé.

Quand j'ai vu «Fast Times à Ridgemont High», je pensais: c'est à quoi ressemble ma vie. C'est mon quotidien.

Je suis vraiment content d'avoir fait un film de cette façon sur Superbad, parce que j'ai beaucoup appris sur ce qui peut être fait et quelles sont les limites.

Je pensais en quelque sorte que je ne travaillerais exclusivement que dans le monde du drame de comédie naturaliste, mais il y a ce côté de moi qui aime aussi Hollywood, et je voulais voir à quoi cela ressemblait.

Quand j'ai lu un script, je suis toujours - la première question que je me pose est: "Y a-t-il quelque chose que je pourrais apporter que peut-être le prochain gars ne le ferait pas?" Parce que j'ai lu beaucoup de très bons scripts et j'ai pensé qu'il y a des gens qui pourraient faire cela mieux que moi.

Je suis fier des choses que j'ai faites, mais je suis assez dur avec moi-même. Une partie de la recherche de mon ancien travail consiste à me motiver à essayer plus fort.

Je ne suis pas quelqu'un qui est allé à Comic Con en tant que dévot.

J'ai un peu de bête noire sur la façon dont la classe moyenne est représentée dans les films. J'ai l'impression qu'ils ont tendance à être représentés d'une manière très sentimentale, où tout le monde a un cœur d'or, à l'exception des méchants que vous êtes censé, ou il y a une sorte de version indie ... quand c'est bien fait , c'est génial, c'est du velours bleu. Mais quand c'est mal fait, on a l'impression de tirer du poisson dans un baril, en disant: "Ooh, des banlieues effrayantes."

Ayant grandi dans une famille catholique, alors que je me sentais comme je n'étais jamais conscient d'un antisémitisme flagrant, j'étais conscient d'une mentalité légèrement insidieuse et usus-là. Beaucoup de mes meilleurs amis et de mes premières copines étaient juives, et j'ai rencontré ce qui était plus une anth-esprit de banlieue, de personnes ayant besoin de défendre leur tribu.

J'ai un peu de bête noire sur la façon dont la classe moyenne est représentée dans les films. J'ai l'impression qu'ils ont tendance à être représentés d'une manière très sentimentale, où tout le monde a un cœur d'or, à l'exception des méchants que vous êtes censé, ou il y a une sorte de version indie ... quand c'est bien fait , c'est génial, c'est «Blue Velvet».

Je suppose que Bittersweet est probablement mon ton préféré, en tant qu'amant de Woody Allen et Federico Fellini et de la nouvelle vague française. Vous savez, vieux hollywood, films tristes. Je suppose que c'est ma photo de la vie de banlieue, une grande partie étant très, très solitaire. Je voulais que cela ait été infusé dans le sentiment.

Je suis un grand fan de [Galifianakis] de Zach et j'ai auditionné Zach il y a un million d'années sur un film intitulé Duplex dont j'ai été licencié. Mais Zach est entré - c'était comme 2000, peut-être - en tant que copain que les gens commençaient à remarquer et il y avait quelque chose en lui que j'aimais. Il n'était pas tout à fait raison pour le rôle de [suivre les Jones] et j'ai été licencié de toute façon, alors qui s'en soucie? Mais j'ai toujours voulu travailler avec Zach.

"Duel" est l'un des plus grands films à suspense de tous les temps.

Je ne parle pas vraiment de cela parce que cela semble indulgent, mais j'ai perdu mes cheveux, je suis chauve, j'avais de l'alopécie à l'adolescence. C'était de retour à la fin des années 80, bien avant que les gens ne se rasent la tête. C'est probablement l'une des raisons pour lesquelles j'ai été obsédé par cet âge, car c'est verrouillé dans le temps où j'ai l'impression d'avoir cette perte personnelle qui a tellement affecté ma vanité, et je n'ai pas vraiment l'impression de l'avoir bien gérée. Je suis tellement plus âgé maintenant, donc ce n'est pas un gros problème, mais quand j'y repense, je peux évoquer ce que je ressentais alors.

Il m'a fallu 20 ans pour vouloir écrire sur ma jeunesse. J'étais définitivement un peu intimidé à l'écrire sur cette partie de ma vie.

J'ai l'impression d'être venu d'une génération où ... nous n'avions pas le Vietnam. Nous n'avions pas la Seconde Guerre mondiale. Rien de culturel n'a été poussé sur nous pour faire des hommes à sortir de nous, donc vous êtes un peu libre de ne pas grandir de cette façon si vous ne voulez pas.

Les disques et la musique de Brian Eno m'ont fait passer. Cela m'a donné l'impression qu'il y avait d'autres personnes qui avaient les mêmes questions et peurs et malheur. En particulier ce genre d'artistes qui écrivaient des chansons exactement sur ces choses.

Je me spécialise dans les films que les gens disent sont sous-estimés, à l'exception de «Superbad».

J'ai travaillé pendant sept ans en faisant un informatique pour payer mon chemin dans les études supérieures - je n'ai pas de romance avec le travail informatique. Il n'y a aucune quantité de graphiques bidon et de choses qui font des effets sonores sur l'écran qui peuvent changer cela.

Chez les Indes, la vie est très sombre et réaliste, et dans les films traditionnels, les bords sont tous arrondis et très sentimentaux.

[Gal Gadot] est vraiment intense et effrayant et aussi incroyablement chaleureux et doux.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Greg_Mottola

@gregMottola