Les droits des animaux sans le véganisme sont comme les droits de l'homme avec l'esclavage. Cela n'a aucun sens. Pas du tout.

Il n'y a pas de différence moralement cohérente entre la fourrure et d'autres vêtements animaux, comme le cuir, la laine, etc., tout comme il n'y a pas de distinction moralement cohérente entre la viande et le lait ou les œufs.

Je crois certainement que nous avons une obligation morale de prendre soin des chiens, des chats et d'autres non-humains dont nous avons causé ou facilité l'existence dans le cadre de l'institution de la propriété «PET». Mais je soutiens que nous devons abolir l'institution et cesser de provoquer ou de faciliter l'existence d'animaux plus «compagnons».

En ce qui concerne l'agriculture animale, il y a conventionnel, qui est hideux rythmé, et «compatissant» et «certifié humain» ou autre, qui «peut« être »légèrement« moins hideux. Mais tout est de la torture. C'est tout faux. Ces gadgets «heureux» sont simplement conçus pour faire en sorte que le public se sente mieux dans l'exploitation des animaux. N'achetez pas la propagande de l'exploitation «heureuse». Devenir végétalien et promouvoir le véganisme.

Tout changement social, politique et économique sérieux doit inclure le véganisme.

...manger des animaux implique une décision intentionnelle de participer à la souffrance et à la mort de nonhumains pour lesquels il n'existe aucune justification morale plausible.

Si vous pensez qu'être végétalien est difficile, imaginez à quel point il est difficile pour les animaux que vous n'êtes pas végétalien.

Ce sont des personnes non humaines. Ce ne sont pas de la nourriture. Si les animaux comptent moralement, il y a une et une seule réponse rationnelle: devenir végétalien. Tout le reste ne fait que participer à l'exploitation des animaux.

Tout comme nous rejetons le racisme, le sexisme, l'âgisme et l'hétérosexisme, nous rejetons l'espèce. L'espèce d'un être sensible n'est pas plus une raison pour nier la protection de ce droit fondamental que la race, le sexe, l'âge ou l'orientation sexuelle est une raison de refuser l'adhésion à la communauté morale humaine à d'autres humains.

Qui j'ai été n'est pas aussi important que qui je deviens.

Ce n'est vraiment pas de la science des fusées. Si les animaux ne sont pas de simples choses; S'ils ont une valeur morale, nous ne pouvons pas justifier de manger, de les porter ou de les utiliser, en particulier lorsque nous n'avons pas de meilleure raison que le plaisir ou la mode en palais. Si vous mangez, portez ou utilisez des animaux, vos actions disent que vous les considérez comme de simples choses, malgré ce que disent vos mots.

Les réformes de l'aide sociale et tout le mouvement d'exploitation «heureux» ne sont pas des «pas de bébé». Ce sont de grandes étapes - dans une direction sérieusement arriérée.

Les humains traitent les animaux comme des choses qui existent comme des moyens pour les fins humaines. C'est moralement faux. Le sexisme promeut l'idée que les femmes sont des choses qui existent comme moyens aux fins des hommes. C'est moralement faux. Nous devons arrêter de traiter toutes les personnes - qu'elles soient humaines ou non humaines - comme des choses.

Les gens disent qu'être végétalien crée un problème social en ce que les autres peuvent réagir négativement. Mais n'est-ce pas le cas si vous prenez une position de principe sur une question, que ce soit son racisme, son sexisme, son hétérosexisme, sa violence en tant que matière générale - ou l'espèce? La clé est d'éduquer les autres sur * pourquoi * vous prenez la position.

Vous ne pouvez pas vivre une vie non violente tant que vous consommez de la violence. Veuillez envisager de devenir végétalien.

Rien de tout cela n'est nécessaire. Ce n'est pas comme si nous étions dans une situation où nous ou eux, il y a quelque chose de particulier à parler du statut moral des animaux, lorsque nous les tuons et les mangeons sans aucune raison.

Il n'y a pas de distinction morale entre la fourrure et d'autres matériaux fabriqués à partir d'animaux, comme le cuir, qui est également le résultat de la souffrance et de la mort d'êtres sensibles.

Être végétalien nous offre la paix de savoir que nous ne participons plus à la violence hideuse qu'est l'exploitation des animaux.

L'espèce est moralement répréhensible parce que, comme le racisme, le sexisme et l'hétérosexisme, il relie la personnalité à un critère non pertinent. Ceux qui rejettent l'espèce se sont engagés à rejeter le racisme, le sexisme, l'hétérosexisme et d'autres formes de discrimination également.

Le véganisme éthique représente un engagement envers la non-violence.

Le véganisme est un acte de défi non violent. C'est notre déclaration que nous rejetons l'idée que les animaux sont des choses et que nous considérons les non-humains sensibles comme des personnes morales ayant le droit moral fondamental de ne pas être traité comme la propriété ou les ressources des humains.

Le véganisme doit être la base de référence si nous voulons avoir un espoir de déplacer le paradigme des animaux comme des choses et vers les animaux en tant que personnes non humaines.

Je soutiens que nous devons abolir l'institution et cesser de provoquer ou de faciliter l'existence d'animaux plus «compagnons».

Le véganisme concerne la non-violence: la non-violence pour d'autres êtres sensibles; non-violence pour vous-même; non-violence à la terre.

Les gens doivent être éduqués afin qu'ils puissent faire des choix moraux intelligents

Être végétalien est facile. Y a-t-il des pressions sociales qui vous encouragent à continuer à manger, à porter et à utiliser des produits d'origine animale? Bien sûr, il y en a. Mais dans une société patriarcale, raciste, homophobe et capable, il y a des pressions sociales pour participer et s'engager dans le sexisme, le racisme, l'homophobie et le capacité. À un moment donné, vous devez décider qui vous êtes et ce qui compte moralement pour vous. Et une fois que vous décidez que vous considérez la victimisation des non-humains vulnérables n'est pas moralement acceptable, il est facile d'aller et de rester végétalien

Le véganisme n'est pas un «sacrifice». C'est une joie.

@garyLFrancione