J'adore la télévision, et mon amour pour cela m'a rendu curieux de l'écrire. J'ai l'impression que la télévision évolue vers quelque chose de plus romantique, et c'est ce que j'ai commencé à vouloir faire. Mais je ne peux pas dire que je meurs d'envie d'obtenir des notes d'un studio. Le contrôle artistique que vous obtenez en tant que dramaturge vaut son poids en or.

J'ai passé des étés avec les parents de ma mère en Arkansas, où la religion était très présente. Ma grand-mère était baptiste et mon grand-père était méthodiste. Double Whammy du Sud.

Le premier abonnement au théâtre que j'ai jamais acheté a été la saison d'août Wilson à Signature. Je me souviens avoir pensé qu'une saison entière à un dramaturge était un excellent moyen pour un maître de faire un tour de victoire.

L'une des choses les plus incroyables et les plus importantes du théâtre est que nous créons un espace sûr pour tous les sentiments, mais surtout, des sentiments laids.

Les choses restent en quelque sorte avec moi, et l'écriture, pour moi, est toujours une enquête sur mes propres sentiments à leur sujet. Je me demande pourquoi les choses me collent, et j'essaie de les synthétiser dans une expérience dramatique à certains égards.

Je ne déteste pas les gens qui ont été lancés par colour, mais je déteste les gens qui ont été lancés et prétendent que ce n'est pas le cas, qui prétendent que ces corps sur scène ne portent pas de sens spécifique.

"An Octoroon" a été écrit sur environ trois ans mais a été créé en 2014. J'écris sur la relation de l'Amérique à sa propre histoire. Race ou pas, c'est une histoire de répression et d'oppression et de nombreuses populations étant systématiquement dévalorisées.

Ma mère avait un mur de degrés dans notre maison, et elle me promenait vers le mur et disait: "Quand vous avez autant degrés, vous pouvez me dire quoi faire."

Comment rafraîchir notre langue? Pourquoi utilisons-nous encore, comme, un système de classification de 1500 ans pour parler des gens? Il est tellement bizarre! Nous appelons toujours les gens en noir et blanc?

J'ai essayé d'écrire un roman, mais les pièces étaient la chose qui me nourrissait, me demandant de revenir, de m'asseoir et d'être avec eux.

Je lutte en grande partie avec le travail d'August Wilson en ce que je l'admire parfois et que je me sens parfois furieux, ce qui est étrangement plus influent que d'aimer quelqu'un entièrement.

Mon rêve a toujours été d'avoir une expérience où un membre du public se tournerait vers un autre membre du public, un étranger, et se disait: «Qu'est-ce que nous venions de passer? Et, comme, en quelque sorte commencer à parler.

J'avais 23 ans quand j'ai écrit «voisins», et je le regarde définitivement maintenant et grince des dents un peu. J'essayais de comprendre ce qu'était le drame.

Un tramway nommé désir" est la pièce que j'ai probablement lue le plus de fois dans ma vie, et j'aime la bizarrerie de toutes les scènes, mais surtout la fin de la deuxième scène, lorsque Williams fait monter sur scène un vendeur de tamales pour lui dire simplement : "Red hot !".

D'une manière ou d'une autre, chaque fois que nous pensons à la race ou à la noirceur en relation avec l'art, nous devenons toujours un peu nerveux. Nous pensons toujours que quelqu'un est sur le point d'être puni ou accusé de quelque chose.

J'ai l'impression d'être mis dans une position où je dois m'engager avec ce que les gens apportent à mon travail, ce qui est une attente pour moi de parler de race parce qu'il n'est pas normal qu'un écrivain noir écrit au théâtre.

Quelque chose qui m'arrive, c'est que j'écrirai une pièce spécifiquement à partir de ma propre expérience, puis je vais inévitablement dire que je suis visible au tunnel à ce sujet. Les gens demandent toujours: «Et cette autre race? Ou la discrimination envers ces gens?

Je passe par des phases en regardant une tonne de danse / performance, et je suis bizarrement bien informé sur le sujet.

Vous vous améliorez dans la chose que vous faites en ayant à l'expliquer à quelqu'un d'autre. Cela, je pense, rend totalement mon travail plus fort.

Je ne suis pas vraiment convaincu du théâtre qui est «à propos de quoi que ce soit». Je ne pense pas que le théâtre puisse concerner autre chose que les personnes qui se présentent et la valeur qu'ils détiennent.

J'ai cette chose appelée neuropathie héréditaire avec responsabilité envers les paralysies de pression. C'est incroyablement rare.

Tout mon travail est en quelque sorte alimenté par une question, un besoin de comprendre le monde et pourquoi le monde est ce qu'il est.

Je semble appartenir à un moment de dramaturges, et je suis toujours curieux de savoir comment nous sommes tous arrivés ici et ce qui vient ensuite.

J'ai une obsession limite-embarcatrice pour la musique pop.

Les choses sur lesquelles j'écris ne laisse pas nécessairement les gens au chaud et flou. J'écris dans un territoire qui, comme, contesté et plein de piqûre. Et je trouve que les gens projettent leurs problèmes sur moi ou quelque chose comme ça.

À la fin de la journée, la plupart des gens veulent juste être valorisés. Ils veulent sentir qu'ils ont consacré leur temps à quelque chose qui semble avoir été utile à leur mort.

Les drames familiaux sont difficiles, en tant que dramaturge. La plupart des histoires portent sur des personnages en voyage ou un nouveau personnage venant en ville, car c'est ainsi que vous apprenez des informations à leur sujet. Mais en famille, ils se connaissent tous déjà. Il y a des années d'histoire dans chaque interaction.

@brandenJacobsJenkins