Le titre de bouddha (terme sanskrit बुद्ध buddha « éveillé », participe passé passif de la racine verbale budh-, « s'éveiller »), désigne une personne ayant, notamment par sa sagesse (prajñā), réalisé l'éveil, c'est-à-dire réalisé le nirvāna (selon le Théravada), ou transcendé la dualité saṃsāra/nirvāņa (selon le Mahāyāna). Il peut être désigné par d'autres qualificatifs : « Bienheureux » (भगवत्, bhagavat), « Celui qui a vaincu » (जिन, jina), « Ainsi-Venu » (तथागत, Tathāgata).
L'appellation de bouddha peut donc se rapporter à plusieurs personnes. Le bouddha le plus connu demeure le fondateur du bouddhisme, Siddhārtha Gautama, archétype du « bouddha pur et parfait » (सम्यक सम्बुद्ध, samyaksambuddha).

La vie n'est pas un problème à résoudre, mais une réalité à expérimenter.

Le temps est un grand maître, le malheur, c'est qu'il tue ses élèves.

Il ne faut jamais blâmer la croyance des autres, c'est ainsi qu'on ne fait de tort à personne. Il y a même des circonstances où l'on doit honorer en autrui la croyance qu'on ne partage pas.

Toutes les images sont des mensonges, l'absence d'image est aussi mensonge.

ne t'attache pas à ce que tu possédes aujourd'hui car tu peux très bien le perdre demain

On ne diminue pas le bonheur en le partageant

Considère celui qui te fait voir tes défauts comme s'il te montrait un trésor.

Tu ne peux pas voyager sur un chemin sans être toi même le chemin

L'esprit est tout. Ce que vous pensez de devenir.

Quand on a le sentiment d'aversion pour le mal, quand on se sent tranquille, on trouve du plaisir à écouter de bons enseignements; Quand on a ces sentiments et les apprécie, on est libre de peur.

Ce que vous pensez, vous devenez. Ce que vous ressentez, vous attirez. Ce que vous imaginez, vous créez.

Soyez à vous-mêmes votre propre refuge. Soyez à vous-mêmes votre propre lumière.

Vivons donc heureusement, sans haïr ceux qui nous haïssent.

Le sage doit vivre dans le village comme l'abeille qui, sans altérer la couleur et le parfum des fleurs, s'envole en emportant leur suc.

De même qu'un singe qui prend ses ébats dans la forêt saisit une branche puis l'abandonne aussitôt pour se raccrocher à une autre, ainsi, ce que vous nommez pensée, connaissance, se forme et se dissout sans cesse.

Ne croyez pas les individus, fiez-vous aux enseignements ; ne croyez pas les mots, fiez-vous au sens ultime, ne croyez pas l'intellect, fiez-vous à la Sagesse.

Développe un esprit qui soit vaste comme l'espace, où les expériences agréables et désagréables peuvent apparaître et disparaître sans conflit, lutte ou douleur. Demeure dans un esprit vaste comme le ciel.

Tout comme une mère protège son enfant unique au risque de sa vie, prenons soin du monde avec un esprit généreux et bienveillant.

C'est une perle rare en ce monde que d'avoir un coeur sans désir.

La paix intérieur commence dès l'instant où vous choisissez de ne pas laisser les autres ou les événements contrôler vos émotions.

L'ignorance voile le monde, la torpeur et le manque font obstacle à la claire vision; le bavardage de la pensée le souille, l'instabilité en est la grande angoisse.

L'homme stupide conçoit l'idée de «soi». Le sage voit qu'il n'y a pas de terrain sur lequel construire l'idée de «soi»; Ainsi, il a une bonne conception du monde et conclut bien que tous les composés amassés par le chagrin seront à nouveau dissous, mais la vérité restera.

Comme l'étoile filante, la flamme, l'illusion magique, la goutte de rosée, la bulle sur l'eau; comme le rêve, l'éclair ou le nuage : considère ainsi toutes choses.

Une conscience troublée par les désirs ne peut se libérer.
Une sagesse troublée par l'ignorance ne peut se développer.

Savoir endurer patiemment est la vertu suprême.

Quel que soit le nombre de saintes paroles que vous lisez, que vous prononciez, quel bien vous feront-elles si vos actes ne s'y conforment pas ?

Cette existence qui est la nôtre est aussi éphémère que les nuages d'automne.

L'esprit instable et dispersé, ignorant la vraie doctrine, aimant la flatterie, ne sera jamais mûr pour la sagesse.

@bouddha